PC Xbox 360 PS3

Oui c’est vrai, après un évènement aussi riche en émotions et en surprises que l’E3, il n’est pas toujours facile de revenir à la réalité et à l’actualité disons, plus immédiate. Malgré tout, c’est le cœur vaillant que nous nous sommes rendus pour vous au fanday Call of Juarez: Bound in Blood, pendant lequel nous ont été présentés les modes solo et multijoueur. De quoi se mettre en appétit avant la sortie du jeu prévue pour dans un peu moins d’un mois. Impressions à l’intérieur.

Un peu d’histoire:

Sans avoir été accueilli comme un incontournable, Call of Juarez avait su trouver son public à sa sortie. Le jeu n’était bien sûr pas sans défaut mais cela n’avait pourtant pas empêché le bébé de Techland de se faire une modeste place dans le monde pourtant bien peuplé des FPS. Il faut dire que l’univers du Far West amenait une petite touche d’originalité bien sympathique, puisqu’il faut se rendre à l’évidence, s’il est bien une période de l’histoire injustement boudée par les développeurs, c’est bien celle là.

Deux ans après son arrivée sur Xbox 360, voici donc venir la suite, enfin, la suite façon de parler, puisque le scénario de Bound in Blood se situe 20 ans avant les évènements du premier et met cette fois en scène la famille McCall au grand complet: Ray, pas encore entré dans les ordres, Thomas et leur jeune frère William, prêtre de son état (Dee Dee, elle, n’arrivera qu’un siècle plus tard…). Je vous épargne les détails de l’histoire pour vous laisser le plaisir de la découverte mais, préquelle oblige, il est facile de se mettre en selle sans avoir terminé le premier épisode. Sachez toutefois que l’aventure commence en 1864, un peu moins d’un an avant la fin de la guerre de Sécession.

Comme dans l’aventure précédente, deux personnages sont jouables, à la différence près que, cette fois, à chaque début de chapitre, on vous donnera le choix entre Ray (plutôt axé corps à corps et dynamite, le pied tendre de l’équipe quoi) et Thomas (fusil sniper et lasso de rigueur), ce qui devrait permettre de varier un peu les approches. Sachant qu’en plus les missions peuvent se dérouler un peu différemment selon le héros choisi, on peut peut-être espérer un minimum de replay value par la même occasion.

Le mode solo:

Autant vous le dire d’entrée de jeu, nous n’étions pas spécialement des fans de la première heure. Pour tout dire, le seul épisode laborieux de l’empilage de caisses dans la grange de la démo du premier opus avait eu raison de ma patience. Nous avions donc hâte de savoir si le deuxième épisode nous donnerait plus envie de tenter l’aventure et finalement, quitte à casser un peu le suspense, on a bien apprécié cette petite mise en bouche.

Techniquement d’abord, le jeu tourne sur la dernière version du moteur 3D maison de Techland, le Chrome Engine 4 et, sur PC comme sur console (versions PS3 et 360), on peut dire que la rétine est suffisamment flattée pour inciter le joueur à se laisser tenter. Les environnements sont plutôt jolis, bien mis en valeur par de beaux effets de lumière, une végétation bien rendue et une impression de semi liberté appréciable. Le jeu ne propose pas à proprement parler un monde ouvert comme dans les dernières productions Ubisoft mais les maps sont assez grandes pour permettre d’éviter un peu l’effet couloir. Les forêts sont vraiment belles, traversées par de petits cours d’eau, le vent fait bouger les arbres et les buissons, non vraiment, si ce n’est les violents échanges de coups de feu, on pourrait se croire dans le cadre bucolique idéal pour s’abandonner à la plus poétique des rêveries. Dans un registre un brin moins fleur bleue, la présence d’éléments du décor destructibles (chaises, balustrades, lampes à pétrole, poules - !!! – et objets divers) est un très bon point même s’il est vrai que le premier épisode le proposait déjà. On a beau être loin de Red Faction: Guerilla ou même de Battlefield: Bad Company, on ne peut que saluer l’effort de vouloir rendre le décor plus "vivant".

Tout n’est pas parfait pour autant et on trouve bien sûr quelques textures à nette tendance cheap, un léger tearing (dont on attendra de voir s’il est toujours présent dans la version finale avant de crier au sioux) et des animations un peu raides dans l’ensemble. Le premier contact visuel reste cependant très positif et le jeu n’a pas à rougir par rapport à certains concurrents, d’autant plus qu’il se paie le luxe d’être fluide, ouf !

Bon d’accord, le jeu est joli c’est déjà un bon départ, mais sans une maniabilité un minimum engageante, on ne va pas aller bien loin. L’un des principaux écueils auquel s’était heurté Call of Juarez était la forte pénibilité des phases de plateforme infligées au joueur de temps en temps. Bonne nouvelle, si le lasso est toujours de la fête, Bound in Blood se concentre sur les moments forts (les gunfights) et oublie les acrobaties maladroites. Dans l’ensemble, le jeu est agréable à jouer même s’il n’a pas la nervosité et la précision chirurgicale d’un Call of Duty. La localisation des tirs à la tête semble cohérente, et si on a parfois l’impression que les ennemis digèrent un peu mieux le plomb dans l’estomac que nous, un changement d’arme montre que finalement tout dépend du joujou utilisé. Heureusement, l’impression de raideur tombe assez vite, une fois les souvenirs de guerre moderne un peu estompés. Et puis il suffit de voir ça comme un petit hommage aux déplacements des Comanches à balai de l’époque.

Dans la grande mouvance des jeux actuels, le jeu se pare d’un système de couverture à la Killzone 2 mais qui a la bonne idée de ne pas nécessiter d’appuyer sur une touche du pad. On y gagne en confort même si, du coup, on risque plus de se retrouver à découvert puisque le joueur n’est plus littéralement "collé" à son abri de fortune. Pour le reste, Call of Juarez: Bound in Blood fait aussi dans le classique avec un bouton pour la course (la rapidité varie en fonction du personnage et/ou de la classe pour le multi), la possibilité d’avoir une ou deux armes en main, de zoomer (avec une seule arme), de sauter etc. Dans la grande tradition du premier épisode, on a accès à ce qu’on appelle le focus mode: il s’agit d’une sorte de furie permettant de ralentir le temps (oui encore) et de balayer l’écran pour cibler un maximum d’ennemis (y compris des poules !!!) avant de laisser le personnage balancer la sauce barbecue façon tartare automatiquement une fois le temps écoulé. Le type de furie (et son déroulement spécifique) dépend du personnage sélectionné. Pour la déclencher, il vous faudra abattre un certain nombre d’adversaires à la suite pour remplir une jauge symbolisée par un barillet en haut à droite de l’écran. D’autres séquences en slow motion agrémentent aussi la progression mais celles-ci se déclenchent de façon totalement scriptée et diffèrent du focus mode en cela qu’elles permettent juste d’avoir plus de temps pour viser et tirer en temps réel, façon Bullet Time.

Autre particularité de la série Call of Juarez: les duels. Assez inintéressants dans leur déroulement dans le premier opus, ils ne semblent pas bouleverser la recette Tex Mex du premier épisode. Tout se passe de façon plutôt simple: on aperçoit notre personnage de dos, la caméra étant bien sûr calée au niveau de sa main droite et du ceinturon. On peut se déplacer avec le stick gauche pour se positionner par rapport à son adversaire, le stick droit servant, lui, à dégainer. Si on approche la main droite trop vite de l’arme, d’un simple mouvement du doigt, Ray (ou Thomas) nous indique que le moment n’est pas encore venu. À la fin, il ne doit bien sûr en rester qu’un. Difficile d’être catégorique sur leur intérêt sur le long terme mais ils ont au moins le mérite de mettre dans l’ambiance et ce n’est déjà pas si mal.

Et parlons-en de l’ambiance ! Musiques tantôt à consonance mexicaine dans le pur style western ou bien lorgnant plus du côté du bon vieux film d’aventure, c’est selon. Le doublage en anglais comme en français ne fait pas vraiment dans la dentelle, ce qui pourra amener certains à le trouver trop caricatural mais la pilule passe finalement bien mieux que l’élixir du Docteur Doxey.

Niveau durée de vie, on nous a annoncé un temps de jeu pouvant varier entre 10 et 15 heures, 3 niveaux de difficulté étant comme à l’accoutumée disponibles. À ce titre, le changement de difficulté devrait en principe faire un peu plus qu’influer sur le niveau de résistance du joueur. Cela pourrait permettre d’affronter une IA mieux équipée pour repousser les assauts de Ray et Thomas, les deux héros. Il faut avouer que nous avons parfois trouvé l’IA un peu moyenne, sachant que c’était déjà un défaut du premier épisode. Les vilains pas beaux se mettent bien à couvert mais semblent parfois adopter une allure un peu trop nonchalante pour se mettre à l’abri. Cela n’empêche pas le premier niveau du jeu nous projetant en pleine guerre de Sécession d’être pourtant déjà bien retors à certains passages (en mode normal), à moins que le niveau de votre serviteur n’ait eu quelque chose à voir là dedans, allez savoir…

Pour finir sur le mode solo, notons que le jeu devrait proposer une expérience pour le moins variée puisque sont au programme: des balades à cheval, des attaques de diligence, des descentes en canoë (comme dans le Colorado de Silmarils pour les vieux de la vieille), du tir au canon et j’en passe. Une bonne compilation de ce qu’on est en droit d’attendre d’un bon Western.

Le mode multi:

Réussir à proposer un mode multi qui accroche les joueurs pendant longtemps est une tâche ardue quand un ténor comme Call of Duty 4 reste numéro 1 dans le cœur du plus grand nombre depuis déjà bientôt deux ans. Bound in Blood ne risque pas de révolutionner le genre mais proposera tout de même à 12 joueurs de s’affronter dans 5 modes de jeu sur 12 maps différentes. Nous nous sommes essayés au mode Wild West Legends, une version western et scénarisée du deathmatch par équipe. Ce mode de jeu voit s’opposer les bons (les bleus) et les méchants (les rouges) et son principe repose simplement sur l’attaque ou la défense de zones (banque, réserve de munitions etc) avec évolution des objectifs au fur et à mesure de la partie. L’attaque de la banque est par exemple suivie de la fuite à cheval des bandits, à condition que ces derniers aient pu rallier l’étable et voler des montures aux yeux et à la barbe de l’autre équipe cela va sans dire.

Autre mode assez classique, le deathmatch simple (appelé ici Shootout) qui se voit agrémenté d’un système de prime. Plus un joueur est efficace et plus sa cagnotte augmente, plus sa tête est mise à prix et plus il devient intéressant de l’abattre. À priori, on ne sait jamais vraiment qui est en tête mais dans une session de 15 minutes les renversements de situation peuvent être nombreux, comme nous en avons eu la preuve. À cela s’ajoutent un mode VIP (un joueur d’une équipe doit être protégé des attaques adverses), un mode Wanted (tous contre un et un contre tous) et un mode deathmatch classique (Poose).

Le jeu propose d’entrée 13 classes différentes allant de l’Indien, au mineur en passant par le trappeur ou même l’espion. Je vous renvoie au screen correspondant pour avoir la liste complète mais elle est assez conséquente. Chaque classe a bien sûr ses avantages et ses inconvénients, ses armes et un système d’upgrade sur trois niveaux permet d’améliorer ses capacités. Nous verrons à l’usage si les classes équipées d’armes à longue portée ne sont pas trop avantagées par rapports aux simples colts ou arcs.

Les quelques parties auxquelles nous avons pu jouer ont été tout à fait sympathiques de part l’ambiance singulière qui se dégage des rues désertes d’une petite ville du Far West ou bien encore d’un petit étang au milieu d’une zone boisée et ce qui ressemblait à un camp de trappeurs. Bon attention, tout est très classique, les points de respawn ne nous ont pas toujours paru très judicieux et certaines zones des maps un peu mal pensées (certaines ruelles qui se finissent en cul de sac par exemple). En mode deathmatch par équipe, il n’est pas non plus toujours simple de savoir qui est dans notre camp: en principe les bons sont habillés dans les tons bleus mais dans la pratique ce n’est pas toujours évident et en plus, pour voir le nom du joueur (et son équipe), il faut pointer son arme sur lui, ce qui peut prendre un certain temps quand on a la vivacité de l’inspecteur Navarro.

Bref, on ne se prononcera pas sur le niveau de fréquentation des serveurs sur le long terme mais le mode multi remplit sa fonction sans prendre trop de risques. Dommage que les développeurs n’aient pas pensé à ajouter un mode horde où il aurait fallu repousser à plusieurs les assauts incessants des Indiens ou des bandits à l’intérieur d’un fort ou du bureau du sheriff. Pas de mode coopération non plus, hélas, aussi faudra t-il se contenter d’un contenu très classique mais malgré tout assez efficace pour qu’on se donne la peine de s’y essayer.

Que faut-il penser de Call of Juarez: Bound in Blood au final ? S’il avait eu la mauvaise idée de sortir en fin d’année au milieu de la déferlante de titres triple A, il aurait certainement eu du mal à tirer son éperon du jeu. Sauf que voilà, il a l’excellente idée de sortir juste à point pour l’été et semble bien se présenter comme le titre parfait pour se détendre après un bon bain de soleil. Sans compter que tout le monde ne peut pas forcément se permettre de vraies vacances dans le grand ouest américain. Et puis honnêtement, un jeu où on peut tuer des poules ne peut pas être un mauvais jeu vous ne trouvez pas ?

Un grand merci à Louis Gambini et à Jérôme Lambert pour leur disponibilité.

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CaptainTARASS - Lapin blanc
CaptainTARASS
Commentaire du 18/06/2009 à 23:37:13
Le meilleur article jamais paru sur GSY, et on sent toute l'âme de l'artiste à travers ces merveilleuses photos!

Merci encore à Ubi pour leur accueil!
En réponse à
BlimBlim - Tyrannosaurus
BlimBlim
Commentaire du 18/06/2009 à 23:38:23
Qui saura nous donner le nombre exact de jeux de mots pourris dans cet article ?
En réponse à
CaptainTARASS - Lapin blanc
CaptainTARASS
Commentaire du 18/06/2009 à 23:44:25 En réponse à BlimBlim
En réponse à
chaz - Stéphane Bern
chaz
Commentaire du 19/06/2009 à 00:15:52
J'avais bien apprécié le premier (en occase cela dit), notamment pour son ambiance mais il y a le prochain red dead revolver qui pointe le bout de son flingue lui aussi, donc je ne sais pas trop.
Une démo est prévue?
En réponse à
CaptainTARASS - Lapin blanc
CaptainTARASS
Commentaire du 19/06/2009 à 00:23:05 En réponse à chaz
COJ sort début juillet, tandis que RDR sort en fin d'année, donc tu peux même enchainer les 2 ;)

Pour la démo on n'a pas eu d'info.
En réponse à
chaz - Stéphane Bern
chaz
Commentaire du 19/06/2009 à 00:25:09 En réponse à CaptainTARASS
Fin d'année?
Purée, quand je pense à tous les jeux auxquels je suis passé à côté faute de temps, maintenant ça va être le portefeuille qui va morfler.
En tout cas merci du renseignement.
En réponse à
Game2k
Game2k
Commentaire du 19/06/2009 à 00:35:05
Merci pour ce très bon article Drift'.
Ça confirme ce que je pensais, ça sera un très bon jeu ne serait-ce que pour les poules. ^^
Je suis curieux de voir ce que va donner les balades à cheval en vue FPS.

@Captain: Red Dead n'est pas repoussé lui aussi à 2010?
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 19/06/2009 à 00:36:02 En réponse à chaz
Red Dead est repoussé à 2010 tu as le temps. :)

Chez Ubi on m'a dit qu'une démo n'était pas prévue mais dans un magazine je suis tombé sur une publicité annonçant une démo PC et console vers la mi juin. Bref, on ne sait plus qui croire.

Game2K: merci. :)
En réponse à
Zorgalouf
Zorgalouf
Commentaire du 19/06/2009 à 08:13:31
Sympa l'article. Ya un seul truc que j'aime pas, c'est de mettre en gras certains termes. J'aime pas parce que je peux pas m'empêcher de les lire "fort" dans ma tête (vous voyez ce que je veux dire?) alors qu'en fait y a pas besoin.
En réponse à
trigun26
trigun26
Commentaire du 19/06/2009 à 09:19:44
"Et puis honnêtement, un jeu où on peut tuer des poules ne peut pas être un mauvais jeu vous ne trouvez pas ?" Celle là elle m'a bien fait marrer!
En réponse à
Avalon
Avalon
Commentaire du 19/06/2009 à 11:35:15
Bon article (mais bon, tout le monde sait que ce n'est pas réellement Drift qui l'a ecrit..) et cela me reconforte dans l'idée que je me fais du jeu.

Les cris d'Indiens vont resonner dans mon 5.1 !
En réponse à
Omega76
Omega76
Commentaire du 19/06/2009 à 15:25:19
Le premier épisode ne m'a pas vraiment transcendé, mais si une démo de celui-ci est mise à disposition, j'me laisserai tenter volontier.

Par contre, j'ai eu un blocage sur l'image "WANTED" de Rayman, toutes les autres concernant des blockbusters à venir, et les lapins crétins ayant déjà leur propre affiche, est-ce que c'est une manière d'annoncer un nouvel épisode de l'un de mes jeux préférés ? J'espère bien...

Wait and see, comme d'hab'
En réponse à
Driftwood - Dictateur en chef
Driftwood
Commentaire du 19/06/2009 à 16:30:24 En réponse à Omega76
Je ne pense pas, ils avaient juste fait ces affiches avec les "stars" de chez eux pour décorer les locaux et nous mettre dans l'ambiance. Un peu comme le buffet mexicain qu'on nous a servi. ^^
En réponse à
CaptainTARASS - Lapin blanc
CaptainTARASS
Commentaire du 19/06/2009 à 20:40:30
Pour ceux que le jeu intéresse, je peux mettre à disposition les quelques vidéos de fortune réalisées lors de la présentation.
En réponse à
Aure04 - Echangiste
Aure04
Commentaire du 19/06/2009 à 20:43:14 En réponse à CaptainTARASS
Ca ne me déplairais pas :D
En réponse à
Game2k
Game2k
Commentaire du 19/06/2009 à 20:50:05 En réponse à CaptainTARASS
Moi aussi ça m'intéresse :)
En réponse à
CaptainTARASS - Lapin blanc
CaptainTARASS
Commentaire du 19/06/2009 à 21:19:51
Ne vous attendez pas à des vidéos de folie, elles sont capturées avec un APN (mais 720p tout de meme), il faisait sombre etc...

> Le solo présenté par Ubi sur PC/rétroporjecteur
> Le multi sur 360 (vous pourrez meme entendre la douce voix de Drift)
> Et pour les vraiments courageux, une vidéo du solo sur PS3 sur une télé pourrie, avec Drift aux commandes

Enjoy!

P.S: nous ne cautionnons pas les propos tendancieux envers les chauves et les indiens contenus dans ces extraits vidéos...
En réponse à
Game2k
Game2k
Commentaire du 19/06/2009 à 21:33:21 En réponse à CaptainTARASS
Merci, je download tout ça.
Les chauves et les indiens? Drôle de western ^^
En réponse à
A propos du jeu
Plateformes
X360 PS3
Edité par
Ubisoft
Patreon

135 $ de 400 $ par mois

Quoi de neuf ?
  • Driftwood

    Driftwood @CraCra: oui c'est pour ça, et c'est sans doute aussi pour cela que nous n'aurons pas de code, parce que ce n'est pas MS derrière. :) (il y a 13 Heures)

  • CraCra

    CraCra @face2papalocust: Bah si tu achète sur playstation tu pense pouvoir jouer sur PC voir xbox avec un seul achat ? Ici c'est qq chose proposé par xbox pour leur jeux de pouvoir joué aussi sur PC (il y a 17 Heures)

  • CraCra

    CraCra @face2papalocust: Stalker2 est pas un jeu xbox juste une exclu temporaire et ou ils ont aidé de différente maniéré le studio, d'ailleurs sur PC faut passer pas steam il me semble (il y a 17 Heures)

  • face2papalocust

    face2papalocust @CraCra: Ca devrait être systématique sur tout les jeux et sur chaque plateforme! (il y a 19 Heures)

  • CraCra

    CraCra @reneyvane: D'apres le site xbox,STALKER2 n'es pas Play Anywhere mais FS2024 oui apparemment (il y a 20 Heures)

  • davton

    davton @reneyvane: pas d'infos non (il y a 1 Jour)

  • reneyvane

    reneyvane @davton: Comme Flight-Simulator 2024 sort un jour avant Stalker-2, que c'est aussi du Xbox/PC made Microsoft, avez-vous un indice que vous pourrez peut être ne pas tester ? Merci. (il y a 1 Jour)

  • Driftwood

    Driftwood Il est de nouveau possible de télécharger les vidéos sur le site. Désolé pour le mois et demi de panne. (il y a > 3 Mois)

  • Driftwood

    Driftwood Retrouvez notre review de Rift Apart dès 16h00 aujourd'hui, mais en attendant Guilty Gear -Strive- est en vedette en home ! (il y a > 3 Mois)

  • Driftwood

    Driftwood Le live commence d'ici 30 minutes, voici le lien GSY [url] et celui de Twitch [url] (il y a > 3 Mois)

  • Driftwood

    Driftwood Nouveau live sur Returnal à 14h30 aujourd'hui. (il y a > 3 Mois)

  • Driftwood

    Driftwood Le stream via Twitch, ici : [url] (il y a > 3 Mois)

  • Driftwood

    Driftwood Le stream maison ce sera ici : [url] (il y a > 3 Mois)

  • Driftwood

    Driftwood Rendez-vous à 17h00 pour un direct de 40 minutes sur Returnal (il y a > 3 Mois)

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